Second question put to Commissioner Pascal Lamy during an Internet chat at the time of the Geneva talks on trade liberalisation and in preparation of a possible new Millennium Round. (16th October 2000)
Pascal Lamy :
"… As well as tackling familiar topics, we need to do much more to cut the red tape that can strangle trade. We need to respond to developing countries' aspirations to develop via trade. And we need to respond convincingly to environment and consumer concerns.
…"Daniel ROQUES
(AUDACE's President) second question:In terms of environment and safety of the people, the industrial logic remains primarily marketing.
Differences in composition for the same product that serve the only purpose of market segmentation have for consequence that some states receive commercial specialities safer than others.
Couldn't the obligation for the firms to implement the acquired knowledge, the state of the art, in all markets, bring one convincing answer to the concerns over health and environment ?
For a more complete development of this question, please revert to AUDACE's question to Commissioner Lamy on 22nd November 1999 during an internet chat and which remained unanswered.
(to be found on AUDACE's Web Site : http://www.audace-ass.com)
Deuxième questions d'AUDACE à Monsieur Pascal Lamy dans le cadre d'une discussion informelle sur l'Internet le 16 octobre 20000 relative à la libéralisation des marchés mondiaux.
Pascal Lamy :
"…Au lieu de nous limiter aux sujets de discussion habituels, nous devons tout mettre en œuvre pour réduire la paperasserie qui menace d'asphyxier les échanges. Nous devons répondre à l'aspiration des pays en développement à se servir du commerce comme d'un tremplin à leur futur essor, de même que nous devons apporter des réponses convaincantes aux préoccupations en matière d'environnement et de consommation.
…"Daniel ROQUES
(President d'AUDACE) deuxième question :En matière d'environnement et de sécurité des personnes, la logique industrielle reste essentiellement marketing.
Des différences de composition pour un même produit à seule fin de cloisonnement des marchés font que des états disposent de spécialités commerciales plus sûres que d'autres.
L'obligation pour les firmes de mise en œuvre des connaissances acquises de l'état de la technique pour tous les marchés ne pourrait-elle apporter une réponse convaincante aux préoccupations en matière de santé et d'environnement ?
Pour un plus ample développement, cette question rejoint celle posée le 22 novembre 1999 restée sans réponse.
(A lire sur le site d'AUDACE http://www.audace-ass.com)
Daniel ROQUES
President
roques@audace-ass.com
John Pember
vice President
Stéphane DELAUTRE-DROUILLON
Secretary general
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